"Christine, Edith, et le soleil d’Afrique", huile sur toile, G. Chambon, 2009
Christine, il y a trois ans, habitait à Paris, rue de Tombouctou. C’était prémonitoire : elle vit maintenant à Bamako (il n’y a pas de rue de Bamako à Paris, c’est certainement pour ça que le hasard n’avait pu la faire tomber que sur la rue de Tombouctou).
Ici elle est en train de boire une orangeade au bord d’une piscine, quelque part à Bamako. Pendant que Mathieu la photographie, elle pense très fort à sa petite sœur qui voyage au même moment au pays Dogon. Du coup, le soleil se met à briller si fort qu’il évapore la piscine et fait apparaître l’hôtel de Sanga, en haut de la falaise de Bandiagara, où se trouve Edith, qui, simultanément, rêve d’une piscine et d’une orangeade, en pensant à sa sœur.
Ici elle est en train de boire une orangeade au bord d’une piscine, quelque part à Bamako. Pendant que Mathieu la photographie, elle pense très fort à sa petite sœur qui voyage au même moment au pays Dogon. Du coup, le soleil se met à briller si fort qu’il évapore la piscine et fait apparaître l’hôtel de Sanga, en haut de la falaise de Bandiagara, où se trouve Edith, qui, simultanément, rêve d’une piscine et d’une orangeade, en pensant à sa sœur.