Mary Cassatt termine ma série des
tableaux/cartes synchronistiques en hommage aux grands peintres. Elle incarne
la dame de pique, à travers son autoportrait de 1878 (Metropolitan Museum of
Art, New York).Gilles Chambon, Mary Cassatt dame de pique, huile sur toile 61 x 50 cm, 2020
Mary Cassatt est peut-être la plus cultivée des femmes peintres de son temps, ce qui convient à la dame de pique appelée traditionnellement Pallas (en référence à la déesse Athéna). Américaine, elle a voyagé dans toute l’Europe pour parfaire sa connaissance des grands maîtres de la peinture, s’est attachée les conseils d’Edgard Degas, s’est nourrie des inventions impressionnistes, et plus tard des estampes japonaises.
Je l’ai associée ici synchronistiquement à une autre femme peintre moins connue, Christine Boumeester (1904-1971), dont j’admire les nombreuses aquarelles abstraites, qui révèlent équilibre, mouvement, et douceur raffinée.
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