Cette composition synchronistique rapproche une eau-forte de la série des disparates de Goya, intitulée « Cheval ravisseur », et une grande huile sur toile de Zao Wou-Ki, titrée « 26.01.60 ».
C’est l’association entre le grand et le petit ; entre la force désordonnée, chez Zao Wou-Ki, des éclats de lumière épars luttant contre la matière sombre d’une étendue imprécise, et la prégnance insolite, chez Goya, d’une vision ésotérique, chargée de prémonitions inquiétantes.
Combat violent de la peinture blanche contre la toile noire, et combat inégal du grand cheval cabré contre la fantomatique jeune fille blanche.
Tout cela donne assurément matière à un rêve inquiétant.
C’est l’association entre le grand et le petit ; entre la force désordonnée, chez Zao Wou-Ki, des éclats de lumière épars luttant contre la matière sombre d’une étendue imprécise, et la prégnance insolite, chez Goya, d’une vision ésotérique, chargée de prémonitions inquiétantes.
Combat violent de la peinture blanche contre la toile noire, et combat inégal du grand cheval cabré contre la fantomatique jeune fille blanche.
Tout cela donne assurément matière à un rêve inquiétant.
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