Gilles Chambon, "La joyeuse compagnie", huile sur toile 81 x 50cm, 2013 |
Rencontre du passé et du présent, de Vérone et de Saint Emilion, union improbable et joyeuse de personnes issues d'horizons différents, mais réunies par le lien familial, le goût du bonheur, et le plaisir des sens.
Ce tableau, qui montre une partie de ma famille, est au demeurant une commande d’un parent par alliance.
C’est aussi un hommage à Jan Steen, peintre leydois du XVIIe siècle, qui aimait intégrer les membres de sa famille dans ses compositions dont les sujets étaient le plus souvent des scènes festives et des anecdotes de la vie quotidienne. Ses peintures (on en connaît aujourd’hui quatre cents, mais il en réalisa au moins le double) sont généralement truculentes et rayonnent des couleurs de la vie ; cependant sous la spontanéité des moments relatés, se cachent toujours quelques allusions discrètes ou humoristiques rappelant les faiblesses humaines, le temps qui passe, la vanité des richesses, et l’évanescence des plaisirs terrestres… Mais qu’importe ! La magie de son pinceau a su conserver et transmettre au-delà des siècles l’intensité de moments rêvés et d’instants de bonheur disparus.
Ce tableau, qui montre une partie de ma famille, est au demeurant une commande d’un parent par alliance.
C’est aussi un hommage à Jan Steen, peintre leydois du XVIIe siècle, qui aimait intégrer les membres de sa famille dans ses compositions dont les sujets étaient le plus souvent des scènes festives et des anecdotes de la vie quotidienne. Ses peintures (on en connaît aujourd’hui quatre cents, mais il en réalisa au moins le double) sont généralement truculentes et rayonnent des couleurs de la vie ; cependant sous la spontanéité des moments relatés, se cachent toujours quelques allusions discrètes ou humoristiques rappelant les faiblesses humaines, le temps qui passe, la vanité des richesses, et l’évanescence des plaisirs terrestres… Mais qu’importe ! La magie de son pinceau a su conserver et transmettre au-delà des siècles l’intensité de moments rêvés et d’instants de bonheur disparus.
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